[OK] Nakara

.::Nakara::.

Spoiler:

Nom ::. Melwasul
Prénom ::. Nakara, alias 0009472487
Surnom ::. Y’en a pas
Age ::. Inconnu, mais a un physique d’une jeune fille de 17ans
Date de Naissance ::. Inconnue
Race ::. Cyborg rebelle
Pouvoir primaire ::. X

Physique ::. Une espèce de chose toute fragile, Je fait un peu pitié à voir. Maigrelette, j’ai un visage bambin, alors que je suis sensée être à la fin de l’adolescence. Je ressemble un peu à un chat, des yeux en amande, des pupilles légèrement allongées, des canines plus pointues que la moyenne. Les scientifiques se sont d’ailleurs bien amusés, ils m’ont implanté des griffes, entre les phalanges, des griffes qui se rétractent sur ma volonté, des griffes longues d’une quinzaine de centimètre. Six lame d’acier qui me font ressembler à un monstre, une bête. J’ai un regard noir, plus noir que le ciel artificiel qui plane au dessus de la ville la nuit, que les gens me disent, plus noir que les profondeur polluées de la mer, un noir comme celui du regard d’un démon, on m‘a même sorti une fois. Ce que les gens peuvent avoir l’esprit tordu. J’ai des ailes aussi. C’est tellement marrant d’implanter des membres en plus à des gosse machines.




Psychologie ::. A-t-on vraiment un caractère prédéfini? Où est-ce que nous nous en créons un, pour se réfugier, pour avoir des habitudes? Moi, je dirais que mon caractère est…indéfini. J’ai une double personnalité, Matthieu qu’il s’appelle, mon autre moi. Des fois, il m’apparaît comme un mirage, mais souvent, je n’entend que sa voix. Il a une voix animale, bestiale. Quand à moi, je suis une solitaire, c’est tout ce que je pourrais dire. J’aime pas vraiment rester avec les autre gens, j’ai souvent l’impression de ne pas venir de la même planète qu’eux. Je suis un peu impulsive, du genre à sortir mes lame pour n’importe quoi, c’est bête d’ailleurs, mais c’est comme sa.

Histoire ::.« Tu n’es rien… »« Ta gueule »« Rien.. »« TA GUEULE J’AI DIT »

Nakara se réveilla, le front couvert de sueur, l’esprit complètement perturbé, avec cette nausée des lendemain de fête, sauf que la veille, elle n’avait fait la fête. Elle se retourna plusieurs fois dans ses drap, ferma les yeux pour se rendormir, mais n’y parvins pas. Qui était-elle? Que faisait-elle ici? Pourquoi était-elle en vie? A quoi bon, tout sa, sérieusement. Cette planete était pourie, elle avait était complètement réduite à néant par les humains, une belle merde ouais. Qu’avait-elle fait de sa vie? Elle se replia dans se draps humide de sueur, et observa son passé.

Elle se souvient de tout, c’est sa l’avantage d’être une cyborg.
Une super mémoire.
Des souvenir gravé à l’indélébile dans son esprit.

Elle se revoit, bébé.
Son petit corps séré dans les bras d’homme en blouse blanche.

Mais qui sont tous ses gens?

Elle se fait transporter de bras en bras, elle est effrayée complètement apeurée.

Maman? Maman!

Qu’ils soient humains ou pas, les nouveaux nés ont besoin d’un cocon protecteur, quelque chose qui fasse le lien entre eux et le reste du monde, une barrière, un refuge. Mais ils ont beau être des scientifiques ’ont pas encore acquis cette notion. Ou peut être qu’ils s’en fichent, tout simplement.

Des cris résonnent dans les couloirs.
Mais d’où viennent ces cris?
Je pleure?

Une éclaboussure de sang sur des mur blanc, des scalpel levé sur le corps d’un enfant. Un cœur qui s’arrête, puis recommence à battre. Une pupille qui rétrécit.
Puis viens la douleur.

Ça brûle.
Ça fait mal.
J’ai tellement mal que je voudrais mourir.

Quelque chose de nouveau dans sa chair viens d’apparaître. Des Lames. Des Ailes.

Mais qui suis-je?
Je suis un monstre.

L’homme en blouse blanche approche son visage du nouveau né. Le bébé sert les poing, il veux frapper l’homme. Le bébé sent sa peau se déchirer, au niveau des phalanges, des lame jaillissent, et cisaillent le visages du scientifique. Le bras du bébé est aspergé de sang. Autour de lui, on s’active.

« Mais c’est quoi ce gosse bordel! »
« 0009472487 est un nouveau protoype, ils se pouvaient qu’il aie des disfonctionnements… »
« Mon visaaaaaaageeee, mon visage brûleeeeeeee »
« Apportez-le au bloc, MAINTENANT »
« Attachez le merdeux »

Je suis un garçon? Non, je suis pas un garçon, je suis un monstre.
J’ai toujours cru que j’étais une fille…
Toujours? Mais je viens d’être créé.

Les sbire en blouse blanche poussent un brancards.
Les mur sensés être blanc sont presque vert, aux tendances marron âtres.
Elles sent des choses lui ligoter les poignet, les jambes.
Elle a maintenant une heure et elle est déjà privée de liberté.

Les années passent. Elle accumules au grès des années de la haine profonde, envers elle-même, envers le monde. Elle se sent perdu. Son esprit vacille. On la drogue pour ne pas qu’elle s’enfuie. Elle deviens folle. Son esprit hurle à la mort. Mais dans les cachot du laboratoire, le seul public de vos gémissement, ce sont les rats, et vous-même.

« Tu n’es rien »

C’est la première fois qu’on lui parle.
C’est donc sa, communiquer?

C’est faux, je suis 0009472487.

« Tu es un nombre! Un outil, un objet. Apprend à être quelqu’un. Venge toi de ceux qui t’ont fait du mal »

Tu es qui toi?

« Je suis toi . Ou du moins je suis une partie de toi. Je suis la pour t’aider, mais je n’existe pas vraiment. Je m’appelle Matthieu. »

T’es un garçon?

« Pas vraiment »

T’es une fille alors?

« Non plus »

Je comprend rien a ce que tu me dit

« C’est pas grave pour l’instant, essaie juste de te sortir de là. »

Moi aussi j’ai un nom?

« Oui, tu t’appelle Nakara Melwasul »

C’est un joli nom.

« Normal, c’est toi qui l’a choisi »

Ah bon?

« Tu ne comprend donc pas? Tu peux exister. Tu peux te choisir une identité, même plusieurs si tu veux, tu es rien mais tu peux être tout. Je t’expliquerai plus tard, pour l’instant il faut que l’on s’enfuie. »

Je n’arrive même pas à bouger.

« C’est normal, c’est la première réaction qu’a ton corps face à la drogue, mais tu es différente, tu es une Cyborg Nakara, tu peux choisir de réagir autrement, tu peux prendre possession de ton corps, ferme les yeux Nakara, réagis, ton corps t’appartiens. »

C’est comme un voile qui se lève, un nouveau jour. Elle y voit clair, elle sent la douleur des liens qui frottent sur sa peau.

Toute la haine qu’elle a accumulé part dans un seul gestes, ces liens se déchirent, elle se met à courir. Le seul vêtement qu’elle porte est une chemise d’hôpital, transparente, ouverte derrière, mais à cet instant là, elle ne connais pas la pudeur. Alors elle court. Des larmes brûlantes coulent sur ses joues. Les portes automatiques se referme sur elle. Aurours d’elle, des hommes essaient de l’attraper, et, par réflexe, elle sort ses lâmes. En elle, c’est le chaos.

Liberté.

Spoiler:

Quatre mots envoyés à ::. Seppanne
Règlement ::. "lu et approuvé, chef !"

Bienvenue parmis nous !! \^o^/


Pense à passer voir le Professeur Kunishiro pour tes "mises à jour" et tes améliorations techinques

Mumuse-toi bien parmis nous ^^